C’est Noël….c’est le moment de quitter ces relations qui vous empoisonnent!

Cela demande beaucoup de courage, mais il ne faut pas le voir comme une fin, plutôt comme le début de quelque chose de nouveau.

Qui ne s’est pas déjà senti obligé de fermer une étape de sa vie ? On appelle parfois cela «refermer le cercle.»

Néanmoins, au-delà de donner l’image de quelque chose qui se ferme, cette idée de circularité avec un début et une fin, nous fait penser à une entité qui ne se termine jamais, comme un serpent qui se mord la queue ou de récurrence éternelle.Nous devons voir cette étape de la vie comme une ligne sur laquelle on avance, et sur laquelle on circule à mesure que l’on grandit.

Pour grandir, on se détache de certaines choses pour en acquérir de nouvelles. La vie est une avancée imparable qui nous submerge et qui nous coupe le souffle.

Rien ne sert de rester échoué sur quelque chose ou quelqu’un qui nous laisse couler au fond de l’eau comme une pierre tombée dans le puits.

Ceux qui ne nous voient pas, ceux qui nous font du mal et qui ébranlent notre personne, portent atteinte à notre évolution.

On met parfois du temps à s’en rendre compte, mais le mal-être est quelque chose que personne ne peut dissimuler, car c’est douloureux, ça nous affaiblit et nous éteint. Dans la vie, il arrive un moment où il faut laisser aller…
Il faut laisser partir ceux qui vous ont abandonné

Le fait de fermer une étape de notre vie ne signifie pas seulement dire au revoir à la personne qui partageait notre vie, par une prise de décision ou dans un acte de bravoure.

Parfois, ce n’est pas vous qui abandonnez, mais l’autre qui vous a abandonné. Dans ce cas, l’idée de lâcher prise, d’accepter cette rupture et d’avancer à nouveau, devient vitale.

Il faut laisser partir la personne qui nous a abandonné, sous peine de rester enchaîné à d’innombrables émotions négatives qui ne feront qu’empirer de jour en jour.
Il faut du temps pour fermer ce cercle de notre vie dans lequel existe encore la douleur déchirante de l’abandon.
Il est important de faire le deuil, de pleurer, de se reprendre et, plus tard, d’accepter ce qui s’est passé jusqu’à atteindre le pardon.
Quand vous vous retrouverez libéré grâce au pardon, vous vous sentirez plus léger pour laisser aller en toute sérénité.
Un abandon est la rupture d’un lien, et nous devons donc «retourner» vers nous-même.
Jusqu’à récemment, ce lien se nourrissait de l’amour porté à cette relation. Maintenant que le cordon ombilical a été coupé, nous avons besoin de nous retrouver et de prendre soin de nous, pour renforcer ce lien avec notre estime de soi et aller de l’avant.
N’alimentez pas la nostalgie, ne vous concentrez pas sur votre passé car le passé n’existe plus.
N’oubliez pas que les gens qui vivent de la nostalgie ne font rien de plus qu’alimenter la souffrance et «s’enchaîner», en idéalisant un passé tout en perdant leur présent.

Il faut laisser partir sans rancœur

Celui qui alimente la colère, la rancune et le ressentiment se retrouve prisonnier de celui qui lui a fait du mal. C’est aussi simple et désagréable que cela.